Société Française d'Exobiologie
Contrairement a ce qui était admit, le HMT n’est pas un indicateur d’irradiation. Il témoignerait d’un réchauffement et pourrait être utilisé comme un thermomètre fixant la température atteinte dans le corps parent.
Peut-on déterminer les principes qui régissent l’origine de la vie ? Une réponse synthétique à cette question est proposée dans le numéro de mars 2013 d’Open Biology.
Une équipe française vient d’annoncer la présence de la formamide autour d’une étoile analogue à notre Soleil. Cette découverte pourrait marquer une étape importante dans la compréhension de l’origine de la vie sur Terre.
Une recherche vient de mettre en évidence que le cyanamide (H2N–CN) est capable de jouer un rôle majeur dans l’assemblage d’acides aminés en peptides.
Après une journée nourrie en spéculations les membres de l’équipe française de SAM font le point sur ce que l’on peut attendre des mesures de cet instrument.
Par quelles voies chimiques ont pu se former les acides aminés, alors que les environnements astrophysiques sont particulièrement inhospitaliers ?
D’un monde à l’autre : rencontre entre un artiste et un exobiologiste.
Un effondrement structurel dans les glaces interstellaires faciliterait le déplacements de réactifs permettant la formation de molécules organiques complexes.
Martin Fournier, doctorant à l’institut de physique de Rennes décrit sa trajectoire en exobiologie.
Des molécules biochimiques, telles que les « lettres » utilisées pour écrire le code de la vie sur Terre pourraient exister sur Titan, la plus grande lune de Saturne.
Dans le milieu interstellaire, l’azote se collerait sur les grains où des réactions de surface d’hydrogénation formeraient NH3.
L’expérience PROCESS (PRebiotic Organic ChEmistry on Space Station) sur EXPOSE a consisté à exposer des échantillons composés essentiellement de molécules organiques pendant 18 mois en 2008 et 2009 à l’extérieur de la station spatiale internationale.
Vassilissa Vinogradoff, doctorante au PIIM, décrit son parcours de doctorante en exobiologie.
Une étude prédit que des liaisons covalentes sont requises pour construire des échafaudages moléculaires et qu’une source d’énergie au moins équivalente à de la lumière visible doit alimenter le système en énergie.
Dans le numéro de Mai de l’Actualité Chimique de Mai, un article rédigé par Grégoire Danger (PIIM) et Louis d’Hendecourt (IAS) est consacré à l’astrochimie et l’exobiologie.
Une équipe de chercheurs du LISA passe en revue les différentes approches qui sont suivies pour étudier Titan et sa chimie quasi-prébiotique
Coralie Brassé, doctorante au LISA, décrit son parcours de doctorante en exobiologie.
Les premières molécules de la vie se forment naturellement dans les comètes.
La chimie à l’œuvre dans l’atmosphère et à la surface de Titan semble particulièrement complexe et elle pourrait nous renseigner sur des processus d’évolution des molécules carbonées, dont certaines constituent les briques de base du vivant tel qu’on le connaît sur Terre.
De l’Australie au Groenland, du fond de l’Atlantique aux confins de l’espace, les chercheurs traquent le moindre indice d’une activité biologique ancestrale.